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Batterie Samsung Q30

A travers cette petite blague, difficile à retranscrire en français compte tenu de l’absence de traduction correcte de “wearables”, le responsable de Google évoque bien sûr la mug vendue par Microsoft et les Google Glass de la firme de Mountain View. Un petit clin d’oeil à l’absence de joujoux connectés chez Microsoft, qui aura probablement le mérite d’agacer les responsables de la campagne Scroogle…Un sous-traitant taïwanais en équipements électroniques a porté plainte contre le géant sud-coréen Samsung, numéro un mondial des téléphones portables, pour violation de brevets sur sa technologie optique, a-t-il annoncé mercredi dans un communiqué.Largan Precision Co. est concepteur et producteur de lentilles asphériques utilisées dans les portables, les «notebooks» (petits PC portables), l’automobile et les appareils photos numériques. Il serait notamment fournisseur de Samsung et d’Apple.

L’industriel a saisi un tribunal fédéral de Californie du Sud au motif que «plusieurs» produits commercialisés par Samsung utiliseraient sans autorisation le design breveté de ses lentilles.Largan n’a pas révélé le type de produits incriminés mais selon le quotidien des affaires taïwanais Commercial Times, qui cite des sources anonymes, Largan souhaite obtenir réparations pour six brevets identifiés dans le Galaxy Note II.La quasi-totalité des grands groupes technologiques s’accusent sur plusieurs continents de violations de brevets.L’affrontement Apple-Samsung, dont les résultats ont jusqu’ici été très variables selon les pays, est particulièrement suivi car ils sont les deux acteurs dominants sur les marchés des smartphones et des tablettes, et aussi parce qu’à travers Samsung, Apple s’attaque indirectement à Google et à son système d’exploitation mobile Android, utilisé par toute une série de fabricants.Samsung a conforté sa place de numéro un mondial des smartphones au troisième trimestre alors que la part de marché de l’américain Apple a reculé.Les actionnaires de Nokia ont approuvé mardi la cession de la division téléphones portables à l’américain Microsoft, qui doit remettre le groupe finlandais sur le chemin de la rentabilité.

Nokia, qui deviendra ainsi équipementier en télécoms, a précisé lors d’une assemblée générale extraordinaire à Helsinki que des actionnaires ayant voté par avance et détenant plus de trois quarts du capital avaient approuvé la transaction quasi unanimement (99,52%).Le “oui” était prévisible, le cours de l’action Nokia ayant doublé entre l’annonce de cette cession début septembre et l’assemblée générale de mardi.“Il était prévisible que la décision de vendre la division des téléphones portables provoquerait de grandes émotions”, a affirmé le directeur général par interim, Risto Siilasmaa, lors de l’assemblée. “En tant que décideurs et en tant que membres du conseil d’administration, nous avons compris que nous serons fortement critiqués aussi. Nous sommes convaincus que si l’on avait continué avec l’ancienne stratégie, on aurait très probablement mis Nokia dans de grandes difficultés, ainsi que ses actionnaires et ses employés”.Le créateur de Windows a accepté de payer 5,44 milliards d’euros. La cession doit avoir lieu début 2014.

“Pour les actionnaires de Nokia c’est un bon prix parce que cette activité générait des pertes, et que Nokia était devenu trop petit pour se relancer”, explique Eric Beaudet, analyste de la banque Natixis.“C’est une excellente transaction. On ne pouvait pas imaginer meilleur prix pour une division en situation de pertes structurelles, qui aurait pu être valorisée à -5 milliards de dollars”, renchérit Pierre Ferragu, analyste du courtier Sanford Bernstein.Nokia était numéro un mondial des téléphones portables avant de céder en 2012 sa place au sud-coréen Samsung.Les actionnaires ont entériné la disparition d’une marque qui a connu une déchéance spectaculaire depuis l’apparition de l’iPhone d’Apple en 2007.D’après M. Beaudet, “Nokia a de bons produits, mais ça ne suffit pas. Leur problème est une structure de coûts fixes trop élevés, qui fait qu’il leur faudrait 10% du marché mondial des smartphones pour être rentables. Là ils sont à moins de la moitié”.D’après le cabinet Gartner, Nokia est aujourd’hui numéro 8 sur ce marché. Sur l’ensemble des téléphones portables, il reste numéro 2, avec 13,8% de parts de marchés au troisième trimestre, loin derrière Samsung (25,7%) et loin devant Apple (6,7%).

Mardi est la dernière occasion pour les actionnaires mécontents de discuter des échecs successifs du groupe finlandais dans les téléphones.Leur origine remonte maintenant à très loin, comme l’a expliqué l’ancien PDG Jorma Ollila dans une autobiographie publiée en octobre. Selon lui, Nokia était bien parti sur le marché des smartphones à l’époque où il était embryonnaire, en 2004-2005, mais quand il a décollé en 2007-2008, ses produits n’étaient pas à la hauteur.En 2011, un directeur général embauché chez Microsoft, Stephen Elop, fera le choix de s’allier avec le groupe américain. Cela ne paiera pas.M. Elop, qui a démissionné en septembre, le jour où la vente des téléphones à Microsoft était annoncée, est la cible d’un certain ressentiment en Finlande. “Comment pouvez-vous savoir que M. Elop n’a pas filtré des informations confidentielles aux acheteurs ?”, a demandé l’un des actionnaires Markus Magnfors.Mais maintenant que M. Elop est parti, la direction a le soutien d’une écrasante majorité dans la nouvelle orientation du groupe.

Cette majorité attend que Nokia revienne durablement aux bénéfices, après avoir perdu 1,2 milliard d’euros en 2011, 3,1 milliards en 2012, et 590 millions d’euros sur les neuf premiers mois de 2013.Microsoft devra de son côté résoudre un casse-tête: rentabiliser la marque Lumia. Assis sur plus de 80 milliards de dollars de réserves, il a les moyens d’y investir des sommes considérables.Les actionnaires de Nokia sont appelés à voter ce mardi à Helsinki sur la cession de la division téléphones portables à l’américain Microsoft, qui doit remettre le groupe finlandais sur le chemin de la rentabilité.Prévu lors d’une assemblée générale extraordinaire qui s’ouvre à 14H00 (12H00 GMT) dans la capitale finlandaise, le résultat du vote ne fait guère de doute. Les actionnaires devraient clore ce chapitre de l’histoire de Nokia, avec probablement le sentiment d’avoir tiré un bon prix de la transaction.Le créateur de Windows a accepté de payer 5,44 milliards d’euros.«Pour les actionnaires de Nokia c’est un bon prix parce que cette activité générait des pertes, et que Nokia était devenu trop petit pour se relancer», explique Eric Beaudet, analyste de la banque Natixis.

«C’est une excellente transaction. On ne pouvait pas imaginer meilleur prix pour une division en situation de pertes structurelles, qui aurait pu être valorisée à -5 milliards de dollars», renchérit Pierre Ferragu, analyste du courtier Sanford Bernstein.La cession doit avoir lieu début 2014. Nokia, numéro un mondial des téléphones portables avant de céder en 2012 sa place au sud-coréen Samsung, deviendra alors un équipementier en télécoms sans produit grand public.Ce sera la disparition d’une marque qui a connu une déchéance spectaculaire depuis l’apparition de l’iPhone d’Apple en 2007.D’après M. Beaudet, «Nokia a de bons produits, mais ça ne suffit pas. Leur problème est une structure de coûts fixes trop élevés, qui fait qu’il leur faudrait 10% du marché mondial des smartphones pour être rentables. Là ils sont à moins de la moitié».D’après le cabinet Gartner, Nokia est aujourd’hui numéro 8 sur ce marché. Sur l’ensemble des téléphones portables, il reste numéro 2, avec 13,8% de parts de marchés au troisième trimestre, loin derrière Samsung (25,7%) et loin devant Apple (6,7%).

Ce mardi est la dernière occasion pour les actionnaires mécontents de discuter des échecs successifs du groupe finlandais dans les téléphones.Leur origine remonte maintenant à très loin, comme l’a expliqué l’ancien PDG Jorma Ollila dans une autobiographie publiée en octobre. Selon lui, Nokia était bien parti sur le marché des smartphones à l’époque où il était embryonnaire, en 2004-2005, mais quand il a décollé en 2007-2008, ses produits n’étaient pas à la hauteur.En 2011, un directeur général embauché chez Microsoft, Stephen Elop, fera le choix de s’allier avec le groupe américain. Cela ne paiera pas.M. Elop, qui a démissionné en septembre, le jour où la vente des téléphones à Microsoft était annoncée, est la cible d’un certain ressentiment en Finlande.Ce mardi à Helsinki, «il y aura certainement un peu de bruit de la part de ceux qui sont mécontents de la stratégie Elop. Ils devraient le redire. Ça ne reflétera pas l’opinion de la majorité des actionnaires», anticipe M. Ferragu.

Cette majorité attend aujourd’hui que Nokia revienne durablement aux bénéfices, après avoir perdu 1,2 milliard d’euros en 2011, 3,1 milliards en 2012, et 590 millions sur les neuf premiers mois de 2013.Microsoft devra de son côté résoudre un casse-tête: rentabiliser la marque Lumia. Assis sur plus de 80 milliards de dollars de réserves, il a les moyens d’y investir des sommes considérables.C’est au cours d’un entretien avec le Taipei Times que Jerry Shen, le CEO d’ASUS, a donné quelques indices sur la stratégie de son groupe pour 2014. Le géant taiwanais devrait se détacher un peu plus de Microsoft pour se rapprocher de Google…Déjà chargé de produire les deux premiers modèles de Nexus 7 pour le compte de Google, ASUS a annoncé qu’il se chargerait également de concevoir le prochain modèle de tablette Android du géant du Web.Dans une interview accordée au Taipei Times, le CEO de l’entreprise a également indiqué que sa compagnie lancerait en 2014 deux nouveaux modèles de Chromebooks, des ordinateurs portables tournant sous Chrome OS, le système d’exploitation de Google, à des prix respectifs de 199 et 249$.

Outre des Chromebooks et un nouveau modèle de Nexus 7, ASUS devrait également lancer une poignée de smartphones sous Android. Objectif : rendre les activités mobiles du groupe rentables dès 2014.Sans surprise, plusieurs nouveautés devraient être présentées à l’occasion du CES de janvier prochain, et du Computex de Taipei.Motorola, propriété de Google, a présenté mercredi au Brésil son nouveau téléphone Moto G, destiné à 500 millions de consommateurs potentiels dans le monde, dont beaucoup des pays émergents qui veulent un smartphone à un prix abordable.«Quelque 500 millions de personnes ont acheté un téléphone pour moins de 200 dollars», a déclaré le président de Motorola, Dennis Woodside, en présentant le Moto G à São Paulo.«Moto G est un smartphone (…) à moins d’un tiers du prix des smartphones actuels, comme l’iPhone 5S», a souligné M. Woodside.Le Moto G se vendra à moins de 200 dollars sans contrat d’abonnement sur le marché américain et, dans le reste du monde, il coûtera près d’un tiers des iPhone d’Apple ou des smartphones de Samsung.Au Brésil, le Moto G sera commercialisé à partir de 650 réais avec les taxes (soit 280 dollars), un prix encore élevé pour de nombreux habitants de ce pays, où le salaire minimum mensuel est de 678 réais.

Le Moto G a un écran de 11,5 centimètres et une batterie qui dure toute la journée et il aura les dernières versions du système Android de Google.M. Woodside a estimé que ce smartphone sera spécialement attractif sur les marchés émergents, où les consommateurs hésitent à payer 600 dollars pour un smartphone.Ce téléphone est en vente à partir de ce mercredi au Brésil et sur certains marchés européens. A partir de janvier, il sera disponible aux États-Unis, en Inde, au Moyen-Orient et dans la plus grande partie de l’Asie.Aux États-Unis, son prix sera de 179 dollars pour la version la moins chère du modèle. Le modèle 16GB coûtera 199 dollars.Au Brésil, on estime qu’il y a quelque 262,2 millions de téléphones portables pour une population de 200 millions de personnes. Quelque 27 millions de Brésiliens possèdent un smartphone.Une étude du consultant Gartner table sur une croissance de 5,2% des portables en 2014 contre 3,7% cette année.Google a acheté Motorola Mobility en mai 2012 pour 12,5 milliards de dollars pour essayer de relancer son ex-produit vedette de la téléphonie mobile et l’utiliser pour promouvoir la technologie Android sur les smartphones.

Deux semaines après les Etats-Unis, c’est au tour de l’Europe d’autoriser les compagnies aériennes européennes à tolérer l’utilisation d’appareils électroniques lors des phases de décollages et d’atterrissages.S’il vous était jusqu’à présent interdit d’utiliser votre smartphone ou votre tablette durant les phases de décollage et d’atterrissage, l’EASA (European Aviation Safety Agency) a finalement décidé d’autoriser les compagnies aériennes de tolérer l’usage d’appareils électroniques durant toute la période du vol. Bien sûr, chaque compagnie aérienne officiant en Europe conserve le droit d’imposer ses propres règles aux passagers, raison pour laquelle il faudra probablement attendre quelques mois, voire même années encore, avant que toutes les compagnies occidentales se décident à tolérer tablettes, smartphones et e-readers du décollage à l’atterrissage.

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